samedi 2 avril 2016

Dernière piste



Bien que je soit en retard pour ma mise à jour hebdomadaire sur ce blogue, je vous annonce aujourd'hui que j'ai terminé l'entièreté de mes planches. Je peux maintenant m'attaquer aux dernières étapes de la confection de ce projet. En effet, je peux désormais concevoir ma couverture l'esprit un peu plus tranquille. C'est d'ailleurs pour cette raison que vous pouvez me voir feuilleter un magazine NME sur l'image ci-haut comme je suis toujours en quête d'inspiration. 

Sinon, j'ai reçu mon ISBN et j'ai contacté des imprimeurs cette semaine. Je suis ravie des prix qui me sont offerts. Il y a des avantages à travailler en noir et blanc, c'est bien plus rapide en exécution et c'est aussi beaucoup plus économique.

J'ai fait une liste des choses qu'il me reste à faire avant jeudi, la date à laquelle je compte envoyer mon fichier pdf à l'imprimeur. J'ai très hâte de terminer puisque je prévois passer mes deux dernières semaines avant l'expo des finissant enfermée dans le local de sérigraphie. En effet, il y a longtemps que c'est prévu mais je compte réaliser de beaux cossins pour vendre avec mon synthèse. Un autre beau projet à suivre.




Dans un autre ordre d'idée, comme plusieurs de mes comparses, j'annonce l'album sur lequel je dois rédiger un texte de recherche et préparer une présentation orale. J'ai choisi le plus récent album de Luc Bossé, Comment faire de l'argent? 

Si j'ai choisi ce livre tout particulièrement c'était tout d'abord pour discuter du concept de réédition. Le plus souvent lorsque les albums sont réédités, il ne s'agit que d'une bête réimpression d'un livre, dans lequel on a soit ajouté un avant propos et fait une toute autre couverture. Les autres variantes possibles sont des couleurs plus claires ou trop saturées ou encore même trop foncées! Bref, de quoi faire frémir des puristes de la franco belge. Or, dans le cas de Comment faire de l'argent?, bien qu'il s'agisse d'une compilation d'anciennes bandes de Luc Bossé, il s'agit d'un  nouveau livre à part entière, de par la sélection des extraits et du choix de l'ordre de ceux-ci au sein du livre. Qui plus est, en m'attardant sur cet album je voulais aussi documenter les premières éditions de ces bandes qui sont passée par le processus de l'auto édition. 

Donc, où j'en suis maintenant sur cette recherche, et bien j'ai lu et écouté plusieurs entrevues. Cependant, celles-ci traitent davantage de son travail d'éditeur. Afin de trouver plus de réponses j'ai  dû lire l'intégralité de son blogue Bd de Cul. J'ai eu beaucoup de plaisir à lire tout ça, d'autant plus que je dois avouer que je me suis sentie quelque peu comme une archiviste. Croyez le ou non, j'ai répertorié les premières apparitions du Ninja Pow Pow. Sinon, pour cette recherche, j'ai contacté Luc Bossé et je devrais pouvoir discuter avec lui cette semaine, afin d'avoir les réponses à mes questions pour ce projet.

Bref, bref... Tout prend forme soudainement autour du cours de synthèse et je m'enligne pour bien terminer mes travaux. 



Je termine comme à mon habitude en musique. Récemment, en vue de mon voyage en Belgique... et malheureusement aussi à cause des récents attentats survenus à Bruxelles, je me suis attardée à ce que la Belgique avait à offrir sur le plan musical. Comme je n'ai pas envie d'arriver là-bas et de ne pouvoir nommer que Jacques Brel et Stromae, disons que je n'ai pas envie de décevoir les Belges qui croiseront mon chemin sur le sujet de la musique. 

Néanmoins, c'est varié, pas mal de choses, je n'ai peut-être pas trouvé suffisamment de groupes francophones, mais je leur pardonne comme ils ont trois langues officielles (français, allemand, néerlandais). Donc sur le plan francophone, j'ai été surprise de réaliser que la chanson Ça plane pour moi est un hit belge de Plastic Bertrand, sinon Antoine Henaut c'est pas mal, il y un peu de Brassens dans sa façon de chanter. Sinon, les autres groupes qui ont retenus mon attention chante en anglais, The Van Jets qui me rappelle le son des Strokes et Robbing Millions qui eux, sont plus près de Tame Impala. Bref, je vous laisse cette chanson de Robbing Millions que j'ai adoptée instantanément.


Ah, pis voilà une chanson bonus, je l'ai dans la tête depuis mercredi, c'est pas possible. À vous maintenant de l'avoir qui résonne dans votre tête à tout instant de la journée.

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